Le Quotidien
Lorsque l’aide médicale à mourir deviendra une option

Notre santé mentale

Lorsque l’aide médicale à mourir deviendra une option

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Nous avons beaucoup entendu parler de l’aide médicale à mourir (AMM) au Québec ces derniers temps. Le gouvernement a déposé son projet de loi à ce sujet. Il a suivi les recommandations de la Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie en ce qui a trait à la maladie mentale. Ceci signifie qu’une personne ne peut pas obtenir de l’aide médicale à mourir avec pour seul motif la maladie mentale, du moins pour l’instant.
Comment prendre soin de soi en ces temps difficiles

Notre santé mentale

Comment prendre soin de soi en ces temps difficiles

Georgia Vrakas
Georgia Vrakas
Professeure au département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
CHRONIQUE / J’imagine que vous vous sentez un peu comme moi ces temps-ci. Un peu, beaucoup envahie par ce qui se passe dans le monde; une accumulation d’événements stressants. Je ne vous surprends pas en vous disant que pour moi, ce sentiment a débuté en mars 2020 avec la pandémie. Cela s’est empiré durant les Fêtes 2021, le moment où Omicron faisait des ravages au Québec. À vrai dire, c’est la première fois depuis le début de la COVID que j’ai eu vraiment peur. 
Causons pour notre santé mentale

Notre santé mentale

Causons pour notre santé mentale

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / La Journée Bell Cause pour la cause approche à grands pas. Pour une deuxième année consécutive elle aura lieu durant la pandémie, en pleine cinquième vague qui nous frappe fort. Autour de moi, je vois des gens qui vivent des difficultés psychologiques : anxiété, dépression, détresse générale. L’arrivée en trombe du variant Omicron a eu des effets sur le moral des gens. J’ai l’impression qu’on pensait que la situation s’améliorait quand tout à coup on s’est retrouvé à vivre un «déjà vu collectif, un jour de la marmotte pandémique. Notre santé mentale en a pris un coup malheureusement. 
Comment continuer à prendre soin de notre santé mentale?

Notre santé mentale

Comment continuer à prendre soin de notre santé mentale?

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE/ Je pense que nous avons tous et toutes l’impression d’un déjà-vu concernant la situation actuelle. Comme vous, cela m’arrive d’être découragée de la montée fulgurante de cas, de la pénurie des tests rapides et d’avoir l’impression d’être toujours en attente de conférences de presse et de nouvelles mesures sanitaires.
Le 6 décembre, je me souviens

Notre santé mentale

Le 6 décembre, je me souviens

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Le 6 décembre 1989, j’avais 13 ans. Je me souviens de cette soirée. Nous habitions à Montréal dans le quartier Côte-des-Neiges, proche de la Polytechnique. Je me souviens d’avoir entendu les sirènes de plusieurs voitures de police et d’ambulances passer. On aurait dit un cortège de voitures qui n’arrêtait pas. Je me souviens d’avoir compris, en voyant les visages de mes parents, que quelque chose de très grave était en train de se passer.
Quand la vaccination divise

NOTRE SANTÉ MENTALE

Quand la vaccination divise

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Cela fait plusieurs jours, voire semaines, que je vois passer des articles et des chroniques sur les «anti-vaccin» versus les «pro-vaccin». Les gens se posent des questions sur ceux et celles qui ne se font pas vacciner — qui sont-ils et elles? Pourquoi ne veulent-ils pas se faire vacciner — même lorsque cela peut signifier la perte de leur emploi? On pointe aussi du doigt les «pro-vaccin» et leurs réactions virulentes envers les personnes qui refusent de se faire vacciner. On accuse les gens d’être conspirationnistes, égoïstes, pro-dictature et j’en passe. Les accusations fusent de tous les bords.
Connaître et reconnaître les réalités autochtones

Notre santé mentale

Connaître et reconnaître les réalités autochtones

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Le 30 septembre, on soulignait la toute première Journée nationale de vérité et de réconciliation. Cette année a été difficile pour les Peuples autochtones. Le 28 septembre, on commémorait le décès de Joyce Echaquan, cette jeune femme atikamekw morte tragiquement à l’hôpital à Joliette. Les derniers mois ont été marqués par la découverte de sépultures non identifiées de milliers d’enfants autochtones autour des sites de plusieurs pensionnats à travers le pays.
S’adapter à une nouvelle réalité

Notre santé mentale

S’adapter à une nouvelle réalité

Georgia Vrakas
Georgia Vrakas
Professeure au département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
CHRONIQUE / Le texte d’aujourd’hui n’a pas été facile à écrire. Il est inspiré de la fin des audiences publiques de la Commission spéciale sur l’évolution de la Loi concernant les soins de fin de vie où il était entre autres question de l’inclusion de la maladie mentale comme seul motif pour l’aide médicale à mourir (AMM). Une partie de moi est découragée, l’autre est pleine d’espoir et surtout de beaucoup de détermination. Ce texte vient du cœur, de mon expérience vécue avec la maladie mentale, de mon cheminement avec celle-ci, de mon processus de rétablissement. Je veux vous partager ceci pour réitérer qu’il y a de l’espoir même lorsqu’on vit avec une maladie mentale grave.
Nostalgie et espoir

Notre santé mentale

Nostalgie et espoir

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Les vacances tirent à leur fin pour la majorité de nous. Même avec les quelques journées très chaudes et humides qui nous restent, on le sent dans l’air, cette odeur de la fin de quelque chose de beau, d’éphémère, de nostalgique. Pour moi, c’est l’odeur du gazon humide du matin, des nuits fraîches du mois d’août et de l’asphalte fraîchement posé qui n’attend que l’achalandage de la rentrée. En fermant les yeux, je la sens et je suis inévitablement transportée dans mon enfance, au retour à l’école. C’est la fin de l’été qui s’amorce tranquillement.
Santé mentale : un renouveau

Notre santé mentale

Santé mentale : un renouveau

Georgia Vrakas
Georgia Vrakas
Professeure au département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
CHRONIQUE / En ce début d’été, la deuxième dose du vaccin COVID-19 dans le corps, je me sens libre. Je sens qu’un poids a été enlevé de mes épaules, une certaine légèreté ayant frayé son chemin vers moi.
Clown thérapeutique : Intervenir autrement

Notre santé mentale

Clown thérapeutique : Intervenir autrement

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Pour ceux et celles qui ne le connaissent pas déjà, Guillaume Vermette est un clown thérapeutique et humanitaire de Trois-Rivières. Il est directeur de la Caravane Philanthrope qui existe officiellement depuis deux ans. La Caravane a trois volets : le clown humanitaire qui agit en réponse à une crise humanitaire, le clown thérapeutique qui intervient surtout dans les centres d’hébergement de soins de longue durée (CHSLD) et le cirque social où l’enseignement du cirque est utilisé comme levier d’intervention auprès des populations marginalisées (ex. : jeunes de la rue).
Mourir ou vivre dans la dignité

NOTRE SANTÉ MENTALE

Mourir ou vivre dans la dignité

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / La chronique d’aujourd’hui est quelque peu différente des autres, car elle concerne la question épineuse de l’aide médicale à mourir (AMM) pour seul motif la maladie mentale. Je vous en parle, car cette question est de retour sur scène et me concerne tant sur le plan professionnel, comme psychologue et chercheuse en santé mentale que sur le plan personnel comme personne vivant avec une maladie mentale. Ma position a toujours été claire : je suis contre l’inclusion de la maladie mentale comme seule condition médicale pour l’AMM.
Notre santé mentale : Parlons-en!

NOTRE SANTÉ MENTALE

Notre santé mentale : Parlons-en!

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / La Semaine de la santé mentale (1) se déroule cette semaine, du 3 au 9 mai. La thématique cette année est #ParlerPourVrai. La campagne vise à nous encourager de nommer ce que nous ressentons, de ne pas fuir les émotions difficiles, de les exprimer pour nous aider à mieux les gérer.
Santé mentale: savoir s’arrêter

Notre santé mentale

Santé mentale: savoir s’arrêter

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Chers lecteurs, chères lectrices, je suis très contente de vous retrouver après une pause de plusieurs semaines. Mon absence était due à un congé de maladie. Comme je l’ai déjà mentionné ici, je vis avec un trouble de santé mentale, la dépression majeure, depuis plus de 20 ans. Ceci signifie que j’ai eu plusieurs moments dans ma vie au courant desquels j’ai vécu des épisodes dépressifs.
Vivre un deuil pendant la pandémie

Notre santé mentale

Vivre un deuil pendant la pandémie

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / La mort d’un proche est déjà difficile à vivre psychologiquement en temps normal. Cependant avec la pandémie, vivre son deuil peut être encore plus douloureux et complexe.
Prenons une pause des réseaux sociaux

Notre santé mentale

Prenons une pause des réseaux sociaux

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Il y a quelques jours, sur mon fil Twitter, j’ai vu passer une nouvelle concernant une possible troisième vague de la COVID-19. J’ai figé et j’ai ressenti un mélange de stupéfaction, d’impuissance, de tristesse, de colère et d’anxiété. Cela en fait des émotions! J’ai commencé à lire le texte et j’ai décidé d’arrêter. Je me sentais trop découragée pour en apprendre plus. Troisième vague? Je ne savais même pas que la deuxième était terminée! Bref, pour ma santé mentale, j’ai décidé que de lire en continu des nouvelles sur la COVID et de son évolution n’était pas une bonne idée.
Diminuer la détresse chez les universitaires

Notre santé mentale

Diminuer la détresse chez les universitaires

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Le 11 février, les résultats de l’enquête * menée par Léger pour l'Union étudiante du Québec sur la santé mentale des universitaires ont été dévoilés. Des étudiant.e.s de 17 campus à travers la province ont été sondés. Ce qui en ressort est que 81 % des répondant.e.s présentent des signes de détresse psychologique. De plus, au cours des 12 derniers mois précédant l’enquête, 7% ont rapporté avoir eu des idées suicidaires et 3 % à avoir tenté de s’enlever la vie. Ces taux sont plus élevés comparativement à ceux rapportés dans la dernière enquête de l’Union en 2018.
Parler du suicide sauve des vies

Notre santé mentale

Parler du suicide sauve des vies

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Parler du suicide sauve des vies. C’est la thématique de la 31e Semaine de prévention du suicide qui se termine aujourd’hui.
Il faut qu’on se parle

Notre santé mentale

Il faut qu’on se parle

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Le texte d’aujourd’hui me concerne particulièrement et je suis certaine que plusieurs d’entre vous vivent la même chose. Je réalise que plus la pandémie et le confinement perdurent dans le temps, plus je me retrouve à changer ma façon d’être en contact avec les autres. Je comprends que deux choses me manquent énormément : de parler et d’être en lien avec l’autre.
Ensemble, même éloignées

Notre santé mentale

Ensemble, même éloignées

Georgia Vrakas
Georgia Vrakas
Professeure au département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
Joanne Vrakas
Journaliste- animatrice
CHRONIQUE / Cette chronique, comme celle de la semaine dernière, est très personnelle et je crois que plusieurs d’entre vous vont s’y reconnaître. Elle porte sur des évènements de vie marquants et difficiles vécus durant la pandémie par moi-même et par ma petite sœur Joanne : une séparation pour moi et une perte d’emploi pour ma sœur.
Vivre avec un trouble de santé mentale durant la pandémie

Notre santé mentale

Vivre avec un trouble de santé mentale durant la pandémie

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / La chronique d’aujourd’hui est très personnelle et concerne mon parcours avec la maladie mentale et mon processus de rétablissement. Même si écrire ce texte n’est pas facile pour moi, j’ai décidé de le faire pour plusieurs raisons, la première étant d’encourager les gens de chercher de l’aide s’ils ou elles en ont besoin, surtout maintenant.
Santé mentale: confinement, prise deux

Notre santé mentale

Santé mentale: confinement, prise deux

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Le gouvernement a annoncé mercredi de nouvelles mesures de confinement pour aider à diminuer la propagation du coronavirus dans la population. Ces mesures sont nécessaires pour freiner la COVID-19, vu l’augmentation importante des cas au cours des dernières semaines. Cependant, ce nouveau confinement risque d’avoir des effets délétères sur la santé mentale des gens qui sont déjà fragilisés par la pandémie ou qui risquent de le devenir.
Prendre soin de nous

Notre santé mentale

Prendre soin de nous

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / À ce stade-ci de la pandémie, nous connaissons tous et toutes le portrait inquiétant concernant notre santé mentale collective. Actuellement, nous sommes en confinement plus resserré jusqu’au 11 janvier. Nos contacts ont été encore une fois diminués davantage, chose nécessaire, mais particulièrement difficile durant les Fêtes qui viennent de prendre fin.
La santé mentale des jeunes adultes en temps de pandémie

Notre santé mentale

La santé mentale des jeunes adultes en temps de pandémie

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
Julie Marcotte, PH. D, psychologue
Professeure titulaire, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
Les recherches récentes sur la santé mentale dressent un portait inquiétant des jeunes adultes. Une étude révèle que la prévalence d’anxiété et de dépression chez les jeunes de 18 à 24 ans continue à monter depuis le début de la pandémie : elle est maintenant rendue à 46 % (comparativement à 37 % en septembre 2020).
Notre santé mentale: composer avec l’anxiété et la détresse

Notre santé mentale

Notre santé mentale: composer avec l’anxiété et la détresse

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Avec les nouvelles mesures sanitaires de confinement annoncées par le gouvernement en début de semaine, on risque de se trouver davantage isolé les uns des autres. C’est une évidence qu’il est impératif de suivre les consignes de santé publique pour freiner la propagation du virus. Cependant, c’est aussi une période qui continue à s’annoncer difficile sur le plan de la santé mentale.
Notre santé mentale: un rappel important

Notre santé mentale

Notre santé mentale: un rappel important

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE/ Je planifiais écrire ma chronique sur comment gérer l’anxiété en temps de pandémie. J’ai choisi plutôt de tenter de briser des tabous et de parler d’accessibilité aux services de santé mentale au Québec.
Briser la solitude, un geste à la fois

Notre santé mentale

Briser la solitude, un geste à la fois

Georgia Vrakas
Georgia Vrakas
Professeure au département de psychoéducation, Université du Québec à Trois-Rivières
CHRONIQUE / L’isolement est particulièrement difficile ces temps-ci avec l’hiver et un temps des Fêtes qui s’annonce différent des autres. Des études démontrent que notre bien-être durant la pandémie est positivement influencé par la présence d’un soutien social et d’avoir des liens avec nos proches.
Notre santé mentale en temps de pandémie: un petit pas à la fois

Notre santé mentale

Notre santé mentale en temps de pandémie: un petit pas à la fois

Georgia Vrakas, Ph. D., psychologue et ps.éd.
Professeure agrégée, Département de psychoéducation UQTR, campus de Québec
CHRONIQUE / Les enquêtes scientifiques récentes nous révèlent que la COVID-19 a des impacts sur le plan psychologique sur les Québécois et les Québécoises. L’anxiété, la détresse, la dépression sont parmi les problématiques vécues. On est dans une période où l’on fait face à l’inconnu, à l’imprévisible tout en étant de plus en plus isolés les uns des autres.