
Accident mortel: l’arrêt de travail se poursuit chez BPDL
« On attend que l’employeur fasse la démonstration avec des méthodes éprouvées que les méthodes de travail et les installations sont sécuritaires avant de pouvoir reprendre les travaux », a expliqué le communicateur à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et sécurité au travail (CNESST), David Blouin.
La reprise des travaux à l’usine almatoise sera ensuite autorisée par les inspecteurs de la CNESST.
David Blouin rappelle qu’une enquête suivra « comme c’est généralement le cas à la suite d’un accident de travail mortel ». Les conclusions de celle-ci devraient être dévoilées dans environ six mois.
Rappelons que des inspecteurs de la CNESSST se sont présentés à l’usine, vendredi en fin de journée, pour sécuriser les lieux et amorcer la collecte d’informations.
Par ailleurs, trois intervenants psychosociaux du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Saguenay–Lac-Saint-Jean (CIUSSS) se sont également rendus, quelques heures après l’accident de travail mortel, à l’entreprise située à l’intersection de la rue des Pins et du boulevard Maurice-Paradis.