{"accessibility":"METERED","authors":[{"coverUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F7a76e312-0eb8-466a-932d-506df5f87361.png&width=1024&stripmeta=true","description":{"fr":"Chef de la section des arts"},"email":"dcote@lequotidien.com","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F00718560-61de-4694-a4a4-103ffc2b5226.png&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"","name":"Daniel Côté","source":"Le Quotidien"}],"channel":"Opinions","chapters":[{"position":0,"text":"

Mot de la semaine

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Excuses

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Après avoir affirmé qu’il manquait d’expérience, le ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, s’est excusé auprès de Patrice Boivin, directeur général du Centre de services scolaire du Pays-des-Bleuets. Faute avouée est à moitié pardonnée.

Le député caquiste de Lévis a fait amende honorable sur Twitter, après une « bonne rencontre » entre les deux hommes qui visait à « éviter la fermeture de 50 % des maternelles 4 ans » situées dans ce CSS du Lac-Saint-Jean.

"},"type":"paragraph"},{"html":{"fr":"

Bonne rencontre avec M.Patrice Boivin, DG du CSS du Pays-des-Bleuets.

On va travailler ensemble pour tenter d'éviter la fermeture de 50% des maternelles 4 ans.

Je me suis également excusé pour mes propos à son égard. C'est un homme d'expérience et sa valeur est évidente.
— Bernard Drainville (@BDrainvilleQc) January 17, 2023

"},"position":1,"type":"html"},{"position":3,"text":{"fr":"

En conférence de presse, la semaine dernière, Patrice Boivin avait affirmé envisager la fermeture de classes de maternelle 4 ans pour faire face à la pénurie de main-d’œuvre qui touche l’organisme depuis de nombreuses années. Selon ce qu’il avait été avancé, il manquerait près de 200 travailleurs au sein du CSSPB.

"},"type":"paragraph"},{"position":4,"text":{"fr":"

Appelé à commenter la décision de M. Boivin, le ministre Drainville avait pointé le « manque d’expérience » du gestionnaire, avant de se raviser, mardi.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2023-01-18T00:13:31.453Z","externalIds":{"newscycle":"708FC6C5-E569-457A-84E1-07DC5D0F07CA"},"firstPublicationDate":"2023-01-18T01:15:00.000Z","free":false,"id":"33722788acdce605dee07d915e8e87d6","lead":"Le ministre de l’Éducation du Québec, Bernard Drainville, a présenté mardi ses excuses au directeur général du Centre de services scolaire (CSS) du Pays-des-Bleuets (CSSPB), Patrice Boivin, un « homme d’expérience » dont la « valeur est évidente ».","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2023-01-18T01:15:01.760Z","publications":[{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"ma-region"}],"slug":"2023/01/18/drainville-presente-ses-excuses-a-patrice-boivin-33722788acdce605dee07d915e8e87d6","tags":[],"templateName":"article1","title":"Drainville présente ses excuses à Patrice Boivin","type":"article","url":"global/contents/33722788acdce605dee07d915e8e87d6.json","visual":{"caption":{"fr":"Bernard Drainville"},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LA PRESSE, EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fabbfcbb8-822d-479b-b726-8648bc4efaf8.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Bernard Drainville","contentType":"image","credits":"ARCHIVES LA PRESSE, EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fabbfcbb8-822d-479b-b726-8648bc4efaf8.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fabbfcbb8-822d-479b-b726-8648bc4efaf8.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":3,"type":"content_block","photos":[]},{"position":4,"text":"

Le chiffre de la semaine

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5,3 millions $

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C’est ce que le glissement de terrain de La Baie a coûté au ministère de la Sécurité publique. Cet événement survenu en avril a touché 97 résidences et 180 personnes.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"contents":[{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"dvilleneuve@lequotidien.com","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F0b4d3219-76e3-4446-b4f8-98d8199b1a3d.png&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"","name":"Denis Villeneuve","source":"Le Quotidien","twitter":"den_villeneuve"}],"channel":"Actualités ","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

Il s’agit là des données fournies par la Sécurité publique à la veille du dépôt par la mairesse Julie Dufour de son rapport concernant l’état d’urgence local à la suite du mouvement de sol apparu pour la première fois le 16 avril avec une première fissure. Rappelons que 97 résidences et 180 personnes ont été touchées.

Dans le cadre du Programme général d’indemnisation et d’aide financière lors de sinistres réels ou imminents (PGIAF), Québec a déboursé 2 287 965 M$ en allocations de départ, ce qui inclut les frais pour la démolition des bâtiments, la stabilisation du talus, la réalisation du rond-point en haut de talus ainsi qu’un bassin de retenue de l’eau de surface. Les frais d’hébergement et le ravitaillement des victimes ont exigé un débours de 797 040 $. La fourniture de biens et meubles comme des matelas et appareils électroménagers (228 415 $), les travaux d’urgence et temporaires (53 790 $), un montant pour dommages aux bâtiments (22 733 $) ainsi que des frais d’entreposage de 6564 $ complètent les sommes sorties des coffres du MSP. La firme d’ingénierie Englobe a reçu des émoluments de 380 000 $ pour la surveillance des travaux et son expertise géotechnique. Soulignons que Saguenay a obtenu un chèque de remboursement de la part du ministère de l’ordre de deux millions $.

"},"type":"paragraph"},{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE"},"position":1,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F428eb4bc-21ad-4002-9f19-0b6a237668e8.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},{"position":2,"text":{"fr":"

Le rapport qui sera déposé par la mairesse indique qu’une trentaine d’entreprises privées ont été impliquées avec l’obtention de contrats allant de la stabilisation de talus et de fourniture de blocs de béton par la Ferme Jules Poulin, Excavation Poulin et Almamix jusqu’à la location de toilettes mobiles par Toilettes mobiles JM. Plusieurs de ces contrats ont été accordés de gré à gré en vertu de la déclaration d’état d’urgence local le 18 juin.

Les fonctionnaires d’une douzaine de services de Saguenay ont été impliqués entre le 16 avril et le 6 novembre dernier, date de la réintégration de la dernière maison au bas du talus.

En entrevue au Quotidien, le président de l’arrondissement de La Baie, Raynald Simard, a mentionné ne pas avoir eu en main certaines données contenues plus haut. Une rencontre tenue avec les sinistrés jeudi dernier à la demande du CIUSSS a permis d’informer les personnes sur les travaux à compléter au printemps et d’expliquer les solutions techniques retenues, dont l’aménagement du bassin de rétention.

Globalement, M. Simard se montre satisfait du travail accompli avec la collaboration du MSP, du ministère des Transports et des différentes directions. «Je suis satisfait même si on ne peut plaire à tout le monde. Les gens ont été sortis (de leur résidence) à temps et dans les règles de l’art. La Sécurité civile et le ministère des Transports ont été là.»

Le point négatif souligné par la population a été le manque d’information au fur et à mesure de l’exécution des travaux de réaménagement.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2023-01-16T16:00:16.873Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2023-01-16T16:00:53.242Z","free":false,"id":"8d098d6db5d0672871d8324486aca49b","lead":"Le glissement de terrain survenu à La Baie a occasionné une facture salée pour les contribuables québécois. Le ministère de la Sécurité publique (MSP) estime avoir déboursé 5 396 507 $ en date du 9 janvier, dont 3,3 M$ uniquement en remboursement à des particuliers. Le total exclut certains autres frais qui ont pu être engagés par les autres ministères ou organismes.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2023-01-16T21:19:15.122Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"actualites"}],"slug":"2023/01/16/glissement-de-terrain-de-la-baie-une-facture-de-53-m-pour-quebec-8d098d6db5d0672871d8324486aca49b","tags":[],"templateName":"article1","title":"Glissement de terrain de La Baie: une facture de 5,3 M$ pour Québec","type":"article","url":"global/contents/8d098d6db5d0672871d8324486aca49b.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ffefe85d0-7111-46c3-97cd-943f6c6915a3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"contentType":"image","credits":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ffefe85d0-7111-46c3-97cd-943f6c6915a3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ffefe85d0-7111-46c3-97cd-943f6c6915a3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":7,"type":"content_block","photos":[]},{"position":8,"text":"

Citation de la semaine

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« On se sentait comme du monde important. Tout le monde a été tellement gentil avec nous. »

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- Marc Pinard et son épouse Johanne Harvey ont été reçus comme des rois, mardi, au Centre Bell. C’était la première fois qu’ils assistaient à un match de leur fils Rafaël Harvey-Pinard dans l’uniforme du Canadien.

À cet instant précis, il était difficile de trouver des parents plus fiers que ceux réunis dans la métropole. « On a passé une maudite belle soirée, je ne l’oublierai pas de sitôt, c’est certain », a partagé Marc Pinard, au cours d’une entrevue téléphonique, en début d’après-midi mercredi, moins de 24 heures après avoir assisté « en vrai » au premier match de son fils dans l’uniforme du Canadien, son cinquième en carrière.

"},"type":"paragraph"},{"position":1,"text":{"fr":"

Les trois premiers, Rafaël avait rejoint le grand club durant un voyage en Floride, à la fin de 2021, quand la COVID-19 était encore bien présente dans nos vies, et le quatrième, le 21 avril dernier à Montréal, c’était le dernier jour de travail avant la retraite pour Mme Harvey. Le couple avait donc d’autres chats à fouetter, espérant pouvoir se reprendre avant longtemps. C’est finalement arrivé mardi soir, quand « Raf » a aidé le Bleu Blanc Rouge à vaincre les Jets de Winnipeg 4-1. Harvey-Pinard a été utilisé un peu moins de 13 minutes, décochant un tir au but en plus de distribuer quatre mises en échec.

"},"type":"paragraph"},{"author":{"fr":"Marc Pinard"},"position":2,"text":{"fr":"

On était vraiment très, très stressés, on avait hâte que la première présence soit faite, mais finalement, il a bien fait, il a amené son style de jeu. À ce niveau, tout ce que tu souhaites, c’est qu’il ne fasse pas d’erreur, mais tout s’est bien passé !

"},"type":"quote"},{"position":3,"text":{"fr":"

Si le hasard n’avait pas bien fait les choses la saison dernière avec un horaire bien chargé, tout s’est mis en place pour les parents nouvellement retraités. À l’emploi de La Presse dans la section des sports, Katherine Harvey-Pinard était d’office pour couvrir l’honneur réservé à quelques joueurs qui ont remporté la médaille d’or au dernier Mondial junior, le 5 janvier, à Halifax, dont l’espoir du Canadien, Joshua Roy, en plus de Nathan Gaucher et Tyson Hinds. Owen Beck, qui appartient également au club montréalais, était parmi les invités lors de la courte cérémonie avant la première mise en jeu.

"},"type":"paragraph"},{"position":4,"text":{"fr":"

Katherine et Rafaël étaient donc bien occupés, mais cela n’a pas empêché les parents de vivre un moment rempli de fierté. Katherine a offert une petite visite des installations du Centre Bell, plus particulièrement de la galerie et de la salle de presse, du salon Jacques-Beauchamp et des studios de RDS. Mme Harvey et M. Pinard ont notamment rencontré Pierre Houde, Marc Denis et Luc Gélinas, du Réseau des sports.

"},"type":"paragraph"},{"position":5,"text":{"fr":"

« On se sentait comme du monde important, tout le monde a tellement été gentil avec nous. On a vraiment passé une très belle soirée », a reconnu Marc Pinard, qui prévoyait souper avec sa femme en compagnie de Katherine et Rafaël, mercredi soir, au domicile de ce dernier. Le paternel ne savait pas encore si leur fils allait jouer jeudi soir lors de la visite des Panthers de la Floride, mais si tel était le cas, ils allaient à nouveau être présents au Centre Bell.

"},"type":"paragraph"},{"position":6,"text":{"fr":"

« Les occasions sont quand même plutôt rares, mais cette fois, ça a bien adonné et on essaie d’en profiter pas mal », a réagi Marc Pinard.

"},"type":"paragraph"},{"position":7,"text":{"fr":"

Avant d’être rappelé dans la LNH, Rafaël Harvey-Pinard a obtenu 25 points, dont 15 buts, en 37 parties avec le Rocket de Laval, dans la Ligue américaine. Avec les blessures à long terme des attaquants Juraj Slafkovsky, Jake Evans, Joel Armia, Jonathan Drouin et Brendan Gallagher, la porte s’ouvre une fois de plus pour le Jonquiérois de 24 ans.

"},"type":"paragraph"},{"position":8,"text":{"fr":"

« Ça va lui permettre de se faire valoir un peu plus et c’est en passant du temps là-bas qu’il va avoir la chance de faire les bonnes choses. On se croise les doigts et on espère que ça va aller pour le mieux », a mentionné son père en guise de conclusion.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2023-01-19T00:10:33.753Z","externalIds":{"newscycle":"550AB6B6-2CB0-4F85-9C2D-8276CE2AA47F"},"firstPublicationDate":"2023-01-19T00:15:31.425Z","free":false,"id":"1a9b2f70927ef7c74ccb302cd6a942ff","lead":"La famille Harvey-Pinard a vécu une soirée qu’elle n’est pas prête d’oublier, mardi soir, au Centre Bell. Pendant que Rafaël disputait un premier match avec le Canadien de Montréal depuis son rappel de Laval, Katherine était en fonction à titre de journaliste pour La Presse et leurs parents, Johanne Harvey Marc Pinard, pouvaient enfin assister à un premier match de fiston dans la Ligue nationale de hockey.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2023-01-19T03:25:41.422Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":false,"organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"sports"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"ledroit","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"sports"}],"slug":"2023/01/19/soiree-memorable-pour-les-harvey-pinard-1a9b2f70927ef7c74ccb302cd6a942ff","tags":[],"templateName":"article1","title":"Soirée mémorable pour les Harvey-Pinard","type":"article","url":"global/contents/1a9b2f70927ef7c74ccb302cd6a942ff.json","visual":{"caption":{"fr":"Katherine Harvey-Pinard, en compagnie de ses parents Marc Pinard et Johanne Harvey, sur la galerie de presse du Centre Bell. À ce moment, Rafaël se préparait à disputer son cinquième match en carrière dans la LNH."},"contentType":"image","credits":{"fr":"COURTOISIE"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb6f7b070-8066-495e-af9b-808016cb21e3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"Katherine Harvey-Pinard, en compagnie de ses parents Marc Pinard et Johanne Harvey, sur la galerie de presse du Centre Bell. À ce moment, Rafaël se préparait à disputer son cinquième match en carrière dans la LNH.","contentType":"image","credits":"COURTOISIE","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb6f7b070-8066-495e-af9b-808016cb21e3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fb6f7b070-8066-495e-af9b-808016cb21e3.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":11,"type":"content_block","photos":[]},{"position":12,"text":"

Événements marquants

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Vert

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Laurent Paquin a versé aux Clowns thérapeutiques Saguenay son prix de 50 000 $ remporté à l’émission LOL: qui rira le dernier?. Un homme fidèle à ses engagements.

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L’émission LOL: qui rira le dernier?, diffusée sur Prime, a connu un succès instantané. Laurent Paquin, qui y a remporté les honneurs, a choisi de verser son prix de 50 000$ à Clowns thérapeutiques Saguenay, un organisme dont il est l’ambassadeur depuis 15 ans maintenant. Ce n’est pas la première fois qu’il lui versait un prix remporté lors d’une émission de télévision, lui qui «joue» souvent au Tricheur au profit de l’organisme. Mais c’est le plus gros montant jamais reçu par les Clowns.

«C’est immense!», lance Josée Gagnon, lorsque jointe par Le Quotidien, lundi matin. «Jamais on n’aurait pensé avoir un tel don un jour, c’est énorme et nous sommes extrêmement privilégiés et choyés. On n’en revient pas encore», a affirmé Josée Gagnon, précisant que toute l’équipe des Clowns thérapeutiques et les membres du conseil d’administration allaient réfléchir à bien utiliser cet argent. «Nous avons toujours été très économes et prudents, alors on va faire des choix judicieux et bien réfléchir avant de prendre des décisions», a-t-elle précisé.

"},"type":"paragraph"},{"caption":{"fr":"La directrice générale et cofondatrice Josée Gagnon."},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, SOPHIE LAVOIE"},"position":2,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F659be851-9fc9-46b4-9057-20a8e19f0fb8.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},{"position":3,"text":{"fr":"

Outre cet important montant, Josée Gagnon est également très fière que l’organisme ait été nommé dans une émission aussi populaire. «C’est une visibilité incroyable pour un organisme du Saguenay. On est super reconnaissants», ajoute-t-elle.

Laurent Paquin et Josée Gagnon ont étudié ensemble et sont restés de très bons amis depuis. L’humoriste et comédien a toujours été impliqué au sein de l’organisation et il sera d’ailleurs de passage dans la région en mai prochain pour le lancement de la campagne de financement des Clowns.

Depuis sa création, il y a 18 ans, les Clowns thérapeutiques Saguenay ont réalisé 45 000 rencontres avec des personnes vulnérables, que ce soit les personnes âgées ou les enfants et adolescents hospitalisés en pédiatrie.

"},"type":"paragraph"}],"creationDate":"2023-01-16T15:42:23.856Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2023-01-16T15:42:44.273Z","free":false,"id":"adeddb5ab5103d3817c72731268ff73f","lead":"Les Clowns thérapeutiques étaient sur un nuage, lundi, après avoir appris que l’humoriste et comédien Laurent Paquin leur a versé le prix de 50 000$ qu’il a gagné à l’émission LOL: qui rira le dernier?. C’est comme si l’organisme avait remporté le gros lot, a affirmé sa directrice générale et cofondatrice Josée Gagnon, qui peine encore à y croire. Il s’agit du plus gros don jamais reçu par les Clowns thérapeutiques Saguenay.","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2023-01-16T21:12:39.077Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"ledroit","sectionKey":"actualites/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite/le-fil-groupe-capitales-medias"},{"canonical":false,"organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"arts"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"arts"},{"canonical":false,"organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"ma-region"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"actualites"}],"slug":"2023/01/16/le-gros-lot-pour-les-clowns-therapeutiques-saguenay-adeddb5ab5103d3817c72731268ff73f","tags":[],"templateName":"article1","title":"Le gros lot pour les Clowns thérapeutiques Saguenay!","type":"article","url":"global/contents/adeddb5ab5103d3817c72731268ff73f.json","visual":{"caption":{},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F9707d7c4-a060-432a-8d40-8421d632b5f3.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"contentType":"image","credits":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, ROCKET LAVOIE","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F9707d7c4-a060-432a-8d40-8421d632b5f3.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F9707d7c4-a060-432a-8d40-8421d632b5f3.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":15,"type":"content_block","photos":[]},{"position":16,"text":"

Jaune

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Le conseil d’administration de l’Orchestre symphonique du Saguenay-Lac-Saint-Jean a des décisions à prendre, à la suite du départ de David Ellis et Nathalie Camus du Quatuor Saguenay. L’échéance se rapproche dangereusement vite.

« Il s’agit d’une décision mûrement réfléchie. J’aurai 65 ans en octobre et je souhaitais relaxer un peu. Nathalie est plus jeune, mais ensemble, on peut dire qu’on a fait un bon bout au sein du quatuor. Nous continuerons toutefois de vivre dans la région et d’enseigner au Conservatoire de musique de Saguenay », a précisé David Ellis lundi, au cours d’une entrevue accordée au journal.

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Lui-même demeurera associé au Camp musical du Saguenay-Lac-Saint-Jean, de même qu’au Rendez-vous musical de Laterrière, dont il assume la direction. De plus, aucun des deux n’a abandonné l’idée de faire de la musique. C’est d’ailleurs en tant que soliste que David Ellis sera en vedette aux côtés de l’Orchestre symphonique du Saguenay-Lac-Saint-Jean, le 20 avril, au Théâtre C de Chicoutimi.

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« Ça adonne bien parce que je ferai le Concerto pour violoncelle de Saint-Saëns deux semaines après notre dernier concert avec le quatuor, où nous jouerons le Quintette pour deux violoncelles de Schubert. C’est justement pour le plaisir d’interpréter de la musique ensemble que moi et Nathalie, nous étions venus dans la région. Le quatuor nous aura permis de le faire », se réjouit le violoncelliste.

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Période d’incertitude

Cette aventure amorcée en couple prendra donc fin en couple, avec un sentiment légitime de fierté. « Nous sommes contents de ce que nous avons accompli, de la réussite que ce projet a connue. Dès le départ, nous avions une bonne idée de ce que nous souhaitions faire avec le quatuor et c’est ce qui est arrivé. Il a eu une belle carrière aux plans national et international », fait observer David Ellis.

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Tout en étant conscient que le départ de deux membres ouvre une période d’incertitude pour le Quatuor Saguenay, il croit que la poursuite des activités avec de nouveaux effectifs demeure une option viable. « Ça nous est venu à l’esprit que le quatuor pourrait cesser ses activités à la suite de notre décision, mais si les gens veulent que ça continue, il y a toujours une solution », estime le musicien originaire du Vermont.

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C’est pour cette raison que lui et Nathalie Camus ont fait part de leur projet de retraite sept mois à l’avance. Ce ne sera pas de trop, compte tenu du fait que l’Orchestre symphonique, dont relève le Quatuor Saguenay, a lui-même un départ à combler. Il doit remplacer la directrice générale Christine Boily, qui a quitté ses fonctions il y a quelques mois.

"},"type":"paragraph"},{"caption":{"fr":"Conséquence de la période d’incertitude dans laquelle est plongé le Quatuor Saguenay, le projet d’album qui devait se concrétiser en mai, de concert avec la compagnie ATMA, a été mis sur la glace."},"contentType":"image","credits":{"fr":"ARCHIVES LE QUOTIDIEN, JEANNOT LÉVESQUE"},"position":7,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Faa9db3d2-0fd1-41bb-8d61-38188b7d4553.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},{"position":8,"text":{"fr":"

En attendant de voir quel sera l’avenir du quatuor, David Ellis a contacté la compagnie de disques ATMA, qui devait mettre en marché un enregistrement que lui et ses camarades comptaient réaliser en mai. « Ce projet ne se fera pas, vu que deux des membres vont partir tout de suite après, mentionne-t-il. Pour que ce genre de chose fonctionne, il faut être en mesure de donner des concerts. »

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Rouge

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La passerelle toute neuve qui surplombe la rivière Péribonka n’est pas adaptée à certains modèles de motoneige, puisque les patins restent pris entre les planches du tablier. Les concepteurs de ce projet méritent le bonnet d’âne.

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C’est par l’entremise de la page Facebook de l'organisme que l’annonce a été faite, samedi. « C’est vraiment à titre préventif qu’on recommande aux gens de ne pas circuler sur la passerelle. Ce qu’on veut avant tout, c’est que ce soit sécuritaire et agréable pour les motoneigistes », assure le directeur général de la Société de gestion du Parc régional des Grandes-Rivières, Dominique Gobeil.

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La lisse des patins de certains véhicules s’est coincée dans l’espace qui sépare les planches du tablier du pont. Jocelyn Lapointe, un motoneigiste de plus de 30 ans d’expérience, a pu le constater lors d’une balade plus tôt cet hiver. « Les skis plus larges rentrent dans les craques de la passerelle. Le passage est très agressif, ce n’est pas agréable. J’avais l’impression que ma machine allait briser en traversant », raconte-t-il.

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Le Jonquiérois a d’ailleurs vu une pièce de son bolide partir en plein vol lors de cet épisode malencontreux. « Une des pièces s’est complètement détachée et sur le coup, je me suis dit que j’étais parti avec un bout de pont. En m’arrêtant plus loin, j’ai constaté que ça venait de moi finalement », poursuit-il.

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Aux dires de M. Lapointe, un accident risque de se produire, surtout à plus grande vitesse, avance-t-il. « C’est circulable, mais pour une personne peu expérimentée qui arriverait très rapidement, ça pourrait être dangereux. Ce ne l’est pas forcément pour quelqu’un qui prend le temps de bien se positionner par contre. »

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Plusieurs facteurs en cause

C’est entre autres le manque de neige à ce stade-ci de la saison qui explique le manque d’adhérence à la surface de glisse sur la passerelle, fait valoir Dominique Gobeil. « Juste vendredi dernier, il est tombé plus de 30 centimètres de neige à Chicoutimi. Dans le coin de la passerelle, il n’y a eu que 10 centimètres. Sans neige, c’est plutôt difficile d’avoir un couvert. »

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Le corridor de vent qui plane au-dessus du cours d’eau n’aide pas non plus la cause, assure le directeur général de la Société de gestion du Parc régional des Grandes-Rivières.

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L’infrastructure dédiée aux véhicules hors route qui a coûté 3,6 M$ était imaginée pour disposer de petits espaces entre les planches, confirme M. Gobeil. « L’espace entre les tuiles a été pensé pour un souci de durabilité de la passerelle. L’eau peut couler grâce à cela et ça permet de sécher plus vite le tablier, ce qui, au final, permet d’assurer sa pérennité. »

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En mode analyse

La Société de gestion du Parc a assuré dimanche matin qu’elle en était à analyser les pistes potentielles de solution. « Surtout avec la fin de semaine portes ouvertes de motoneige, c’était important d’agir en prévention rapidement puisque plusieurs néophytes risquent de prendre les pistes. On ne voulait mettre personne à risque », défend son directeur général.

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Le passage n’étant pas interdit aux motoneigistes, il en est de la responsabilité de tout un chacun de prendre la décision de traverser ou non. « Ce n’est pas arrivé souvent qu’il y ait d’accrochage. C’était un risque que l’on ne voulait pas gérer, d’où l’importance de notre publication assez détaillée sur Facebook », a conclu Dominique Gobeil.

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