Trois nouvelles carmélites à Dolbeau-Mistassini

Les carmélites vivent une vie de prière, de silence et de travail. ­

La communauté des sœurs carmélites de Dolbeau-Mistassini s’est quelque peu agrandie ces derniers jours. Trois religieuses ont quitté le monastère de Tewkesbury pour s’établir au Lac-Saint-Jean, portant maintenant le nombre de religieuses contemplatives de cette petite communauté à treize.


Dix religieuses carmélites seulement résidaient encore au monastère de Dolbeau jusqu’à l’arrivée de leurs trois nouvelles consœurs. La moyenne d’âge des trois nouvelles venues est de 76 ans, apprend-on dans une publication du diocèse de Chicoutimi.

Une célébration a eu lieu le 19 novembre dernier, présidé par l’archevêque de Québec Mgr Gérald Cyprien Lacroix, pour accueillir ces trois religieuses.

Jusqu’à leur déménagement, elles résidaient au monastère de Tewkesbury, non loin de Québec. Le monastère a fermé ses portes le 17 novembre dernier. Les trois carmélites ont donc choisi Dolbeau pour s’établir.

Sœur Denise-Thérèse Moussette, prieure de la communauté, s’est réjouie de les accueillir.

Le carmel est un ordre religieux contemplatif et l’un des plus vieux de l’Église catholique.

Les carmélites vivent une vie de prière, de silence et de travail. D’ailleurs, le carmel de Dolbeau est le dernier où l’on fabrique des hosties.

Elles quittent leur monastère seulement pour voter, pour aller à l’hôpital ou pour faire quelques emplettes.