Que Dominique Anglade n’ait eu d’autre choix que de démissionner, c’est une évidence.
Le vieux PLQ, ses fantômes et les fameux sauveurs
CHRONIQUE / Que Dominique Anglade n’ait eu d’autre choix que de démissionner, c’est une évidence. Elle a tiré les conclusions de la catastrophe enregistrée par son parti le 3 octobre, ainsi que du tollé soulevé par la faute qu’elle a commise en expulsant la députée Marie-Claude Nichols.
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