S’il est de nature optimiste, Samir Ghrib a plusieurs inquiétudes, notamment celle des infrastructures qatariennes, construites à coups de dizaines de milliards de dollars, des stades, parfois démontables, que ne fréquentent même pas les Qataris.
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Croire au Qatar pour mieux le changer
CHRONIQUE / «Qu’on est bien au Québec, à Québec et au Canada!»
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