Magasiner des vêtements et ensuite les enfiler convenablement n’est pas toujours une mince tâche quand on est amputé et qu’on porte des prothèses. (Fournie/Fournie)
CHRONIQUE / «À l’avenir, Marie-Sol, il vaudrait mieux repenser ta garde-robe et n’avoir que des vêtements mous, ce sera plus facile.» J’avais la mi-trentaine lorsque la jeune ergothérapeute en réadaptation avait maladroitement abordé un des premiers grands défis que j’allais devoir affronter: celui de me vêtir toute seule en dépit de mes quatre amputations.