J’ai beau me convaincre que j’ai fait le deuil de mon autonomie d’avant, il y a toujours un petit quelque chose qui peut momentanément me déchirer le coeur à nouveau. Une photo d’archive de moi avec mes membres, une rencontre fortuite avec une personne ressurgie de mon passé ou un «souvenir Facebook» d’une activité de plein air en famille peut à l’occasion m’arracher une larme. (MARIE-SOL ST-ONGE/MARIE-SOL ST-ONGE)