«Une seule relation sexuelle avec une étudiante sous son autorité est un acte grave en soi. Or, dans les faits, nous sommes en présence d’une conduite répétée», affirme l’enquêtrice Me Cristina Mageau dans l’un des rapports présentés à l’UQAM le 24 septembre 2021 par le cabinet d’avocats Cain Lamarre.
Les deux rapports d’enquête obtenus par La Presse retiennent une vingtaine d’allégations à l’égard de Samuel Archibald. Ils concluent que le professeur a commis des «violences à caractère sexuel» et du «harcèlement sexuel» en vertu des politiques de l’Université. Il s’est de plus placé en «conflit d’intérêts» à de multiples reprises en entretenant des relations intimes avec deux étudiantes, alors qu’il supervisait leur maîtrise ou leur confiait un contrat de correction entre 2015 et 2019.
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