
Les émissions de CO2 provenant des carburants fossiles peuvent perturber une méthode d’analyse chimique permettant à divers experts, dont les archéologues et les médecins légistes, de dater correctement un objet, ou des restes humains.
Un problème inattendu pour les archéologues
CHRONIQUE / Je cherchais un sujet léger pour le mois d’août quand je suis tombé sur un article de la revue Nature (1) paru le 27 juillet. Imaginez… Avec tous les impacts catastrophiques qu’on prévoit en raison des émissions de gaz à effet de serre qui détraquent le climat, voici qu’on se rend compte que les émissions de CO2 provenant des carburants fossiles viennent perturber une méthode d’analyse chimique permettant à divers experts, dont les archéologues et les médecins légistes, de dater correctement un objet, ou des restes humains! Cela a piqué ma curiosité.