OPINION / Avant toute chose soyons clairs, les graffitis qui stigmatisent le bien public, sans aucun respect, sont loin du street art, la presque totalité de ce mal endémique s’apparentant plus à du gribouillage. Il n’y a aucun respect pour le bien d’autrui, qu’il soit municipal, provincial, fédéral ou religieux... même la cathédrale en a été l’objet.