{"accessibility":"METERED","authors":[{"coverUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F4e65599d-1305-4f59-923a-5b5b89448238.png&width=1024&stripmeta=true","description":{"fr":"Chroniqueur"},"email":"fbourque@lesoleil.com","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm-v2.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fcc0debe4-1fa4-43b3-af7a-005c0f91c5ed.png&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","location":"Québec","name":"François Bourque","source":"Le Soleil","twitter":"F_Bourque"}],"channel":"Chronique","chapters":[{"position":0,"text":"

Le cas échéant, la tradition voudrait que le transfert de responsabilité vers la Ville s’accompagne des budgets et ressources nécessaires. Si on en venait là, la Ville devra négocier avec le gouvernement du Québec, rappelle le maire Bruno Marchand.

J’ai compris qu’une norme choisie par la Ville devrait cependant être approuvée par le gouvernement.

Confier la gestion des émissions de nickel à la Ville serait sans doute un moyen pour le gouvernement de se sortir du guêpier dans lequel il s’est foutu.

L’idée de multiplier par cinq le seuil des émissions de nickel (14 ng/m³ à 70 ng/m³) ne passe pas au centre-ville de Québec.

En ouvrant la porte à cette discussion, le gouvernement gagnera peut-être assez de temps pour éviter que le sujet s’invite dans la prochaine campagne électorale.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"contents":[{"accessibility":"METERED","authors":[{"description":{},"email":"epelletier@lesoleil.com","imageUrl":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2F3076c961-26c9-4c1c-8aad-ea126799e4d7.jpg&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","name":"Émilie Pelletier","source":"Le Soleil","twitter":"EmiPelletier"}],"channel":"La Capitale","chapters":[{"position":0,"text":{"fr":"

«Quels sont les coûts, quelles sont les mesures à mettre en place et est-ce que c’est la Ville de Québec qui devrait payer pour ça? Est-ce que le gouvernement devra nous soutenir? C’est des discussions qu’on va avoir», envisage le maire de Québec, Bruno Marchand.

La Ville de Québec en est à «faire le travail» d’évaluer les détails techniques qui s’imposeraient si elle choisissait de se doter d’une norme exclusive sur les émissions de nickel sur son territoire et d’en faire officiellement la demande au gouvernement du Québec.

Lundi, Jacob Martin-Malus, sous-ministre adjoint au développement durable et à la qualité de l’environnement au ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques a confirmé que les municipalités sont bel et bien autorisées à réglementer certains éléments reliés à la qualité de l’air sur leur territoire, sous approbation du ministre. Si sa demande est acceptée, une ville devient donc responsable de veiller au respect de la norme, à ses frais.

"},"type":"paragraph"},{"position":2,"text":{"fr":"

«D’avoir le contrôle sur une norme, si c’est nous [la Ville de Québec] qui en sommes les responsables, avec aucun budget, c’est problématique. Ça veut dire qu’on prend à notre charge quelque chose qui est présentement à la charge du gouvernement […] Si on exige la norme, il faut exiger aussi les moyens de l’appliquer. Ça ne peut pas être juste la Ville qui en est responsable», a commenté mardi le maire Marchand.

"},"type":"paragraph"},{"author":{"fr":"Bruno Marchand"},"position":3,"text":{"fr":"

Ce n’est pas juste d’être responsables d’une norme. Si on ne la fait pas respecter, les citoyens ne sont pas mieux servis

"},"type":"quote"},{"position":4,"text":{"fr":"

Le maire persiste et signe : «il n’y a pas de raison que Québec soit traitée différemment de Montréal», a-t-il répété.

La qualité de l’air dans la basse-ville est une «préoccupation». La Ville analyse donc aussi la possibilité de réclamer au gouvernement provincial qu’il tienne compte de la réalité propre au milieu urbain et aux populations qui y habitent dans l’implantation de la norme sur le nickel.

«On ne peut pas penser qu’on peut évaluer ça de la même façon qu’une mine dans le Nord-du-Québec. Parce que si ça a un effet sur la santé, alors que les populations vivent à proximité, on a un problème. On ne peut pas mettre l’économie au détriment de la santé des populations, c’est inacceptable», plaide M. Marchand.

Déjà, un «travail» est fait pour diminuer les émissions de particules à l’incinérateur, lequel a connu des ratés toxiques récemment, assure le maire. Mais «on n’est pas juste responsables de l’incinérateur, on a aussi une responsabilité envers les citoyens de notre ville, de s’assurer que leur santé est préservée.»

"},"type":"paragraph"},{"position":6,"text":{"fr":"

Un comité plénier se tiendra jeudi avec des experts, des groupes citoyens et des entreprises invités à faire le point sur le dossier de la norme du nickel. Le gouvernement du Québec souhaite permettre d’augmenter la concentration quotidienne de nickel dans l’air de 14 ng/m³à 70 ng/m³.

Par la suite, la Ville de Québec fera connaître sa position.

"},"type":"paragraph"},{"html":{"fr":"

"},"position":7,"type":"html"}],"creationDate":"2022-02-01T21:37:30.370Z","externalIds":{"APPLE_NEWS":"7596a97b-e149-4984-838a-6aaea1b80324 / AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAw== / 2022-02-06T23:05:11+00:00"},"firstPublicationDate":"2022-02-01T21:45:11.560Z","free":false,"id":"b127376c51fb04b039096190bc7c76ac","lead":"La Ville de Québec examine présentement comment la Ville de Montréal procède pour appliquer sa propre norme sur la concentration de nickel dans l’air. Mais comme il serait difficile de l’imiter sans budget, elle pourrait avoir des «discussions» avec le gouvernement du Québec pour lui demander de la «soutenir».","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-02-06T23:04:42.390Z","publications":[{"canonical":false,"organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualites"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualite/la-capitale"}],"slug":"2022/02/01/une-norme-specifique-sur-le-nickel-sans-budget-cest-problematique-dit-marchand-b127376c51fb04b039096190bc7c76ac","tags":[],"templateName":"article1","title":"Une norme spécifique sur le nickel sans budget, «c’est problématique», dit Marchand","type":"article","url":"global/contents/b127376c51fb04b039096190bc7c76ac.json","visual":{"caption":{"fr":"La qualité de l’air dans la basse-ville est une «préoccupation». La Ville analyse aussi la possibilité de réclamer au gouvernement provincial qu’il tienne compte de la réalité propre à Québec et des populations qui y habitent dans l’implantation de la norme sur le nickel."},"contentType":"image","credits":{"fr":"Archives Le Soleil, Pascal Ratthé"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fd5453d19-ecc3-4f60-b43c-c47e2ce5d406.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"color":null,"mainVisual":{"caption":"La qualité de l’air dans la basse-ville est une «préoccupation». La Ville analyse aussi la possibilité de réclamer au gouvernement provincial qu’il tienne compte de la réalité propre à Québec et des populations qui y habitent dans l’implantation de la norme sur le nickel.","contentType":"image","credits":"Archives Le Soleil, Pascal Ratthé","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fd5453d19-ecc3-4f60-b43c-c47e2ce5d406.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Fd5453d19-ecc3-4f60-b43c-c47e2ce5d406.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}],"position":1,"type":"content_block","photos":[]},{"position":2,"text":"

La Communauté métropolitaine de Montréal est la seule à avoir juridiction sur la qualité de l’air sur son territoire et ne sera pas assujettie à la nouvelle norme. Si Québec devait s’en soustraire aussi, on va vraiment se retrouver dans un Québec à deux vitesses.

La Ville de Québec est actuellement le principal lieu de transit du nickel en provenance de la mine Raglan au Nunavik (dans une version précédente, j'avais écrit par erreur Nunavut) et d’une autre mine au Labrador.

Confier à la ville le pouvoir de gérer elle-même les émissions de nickel pourrait avoir des conséquences économiques dont le gouvernement Legault n’a peut-être pas envie.

D’un point de vue local, le premier réflexe est de souhaiter que la ville contrôle au maximum son environnement et la qualité de son air. Le gouvernement municipal est le plus proche des citoyens et normalement le plus sensible à ses inquiétudes.

Mais en sommes-nous si sûrs?

L’exemple récent du projet Laurentia dans le Port de Québec devrait inciter à réfléchir. Si l’administration Labeaume avait eu pleine juridiction sur les normes environnementales, elle aurait sans doute donné le feu vert au projet.

Beaucoup de citoyens se sont réjouis qu’une instance supérieure, le gouvernement fédéral, ait bloqué le projet sur la base des analyses rigoureuses de l’Agence d’évaluation d’impact.

Confier les normes environnementales à des pouvoirs locaux, c’est être à la merci peut-être des humeurs et préférences des administrations du moment. C’est aussi courir le risque de normes disparates ou contradictoires selon les villes. Est-ce que ce serait vraiment la meilleure façon de protéger l’environnement?

***

Le ministère de l’Environnement du Québec a une bien étrange conception de l’acceptabilité sociale des projets industriels.

En point de presse cette semaine, le sous-ministre adjoint Jacob Martin-Malus a dit croire que la modification de la norme sur le nickel «faciliterait l'acceptabilité sociale» de certains projets de développement économique.

Faciliter l’acceptabilité sociale de projets en leur permettant d’émettre plus de nickel dans l’air? Les bras me sont tombés. J’étais convaincu du contraire.

Ce n’était pas un lapsus ou une maladresse de langage. Le sous-ministre a vraiment dit ce qu’il voulait dire. Il a d’ailleurs précisé sa pensée un peu plus tard.

L’acceptabilité sociale dont il parlait, ce n’est pas la même que la nôtre. Pour nous, l’acceptabilité sociale, c’est une adhésion significative des citoyens à un projet ou une mesure.

Pour le Ministère, l’acceptabilité sociale, c’est de rendre les projets acceptables pour les investisseurs étrangers. Ceux-ci exigent que les industries où ils investissent respectent les normes. Comme c’est difficile avec des normes sévères, le gouvernement a choisi de les assouplir.

C'est «dans cette perspective-là» que le sous-ministre a parlé d'acceptabilité des projets. C’était d’ailleurs «la motivation» pour revoir la norme sur le nickel, a-t-il rappelé.

Voilà qui a le mérite d’être clair. Et cela aide à comprendre pourquoi le Ministère montre peu de sensibilité à l’endroit des citoyens de Limoilou qui s’inquiètent. Sa priorité est ailleurs.

Il est déconcertant qu’un ministère de l’Environnement travaille à rendre les projets acceptables pour les investisseurs industriels plutôt que pour les citoyens.

Cela dit, la nouvelle norme proposée pour le Québec s’apparente à celles de l’Ontario et de l’Europe. Celles-ci sont considérées comme sécuritaires pour la santé humaine, même si les recherches sur lesquelles elles s’appuient comportent des incertitudes et des extrapolations.

Il n’y a donc pas de scandale à s’inspirer de ces normes.

Reste qu’on va augmenter le risque pour un quartier Limoilou déjà saturé de contaminants. La révision de la norme aura pour conséquence prévisible que davantage de nickel va transiter par le Port de Québec. Ce n’est pas une bonne nouvelle pour le voisinage.

L'intention du Ministère de l'Environnement est «d'assurer le respect» de la nouvelle réglementation», affirme le sous-ministre.

Rien ne garantit cependant que les nouvelles normes, même rehaussées, seront toujours respectées. «Chaque situation où il y aurait un dépassement sera évaluée», assure-t-il.

***

À ce jour, le ministère de l’Environnement n’a pas montré beaucoup d’empressement à surveiller les émissions de nickel dans l’air. La station Québec-Vieux-Limoilou est le seul endroit où il y a eu un suivi de nickel dans les particules fines.

Un projet pilote vient cependant de démarrer en janvier 2022 dans six autres localités à proximité d’industries susceptibles d’émettre du nickel, soit : Rouyn-Noranda, Saguenay, Saint-Joseph-de-Sorel, Contrecœur, Black Lake et Plessisville.

La qualité de l’air est mesurée tous les deux jours à la station Des Sables, près de la rivière St-Charles. Cela donne une douzaine de lectures par mois, soit environ 1100 au total depuis 2015.

M. Martin-Malus a qualifié les dépassements «d’occasionnels, surtout pas à chaque semaine, c’est même pas à chaque mois, c’est plus bas que ça».

À strictement parler, il a raison. On parle de 88 dépassements de la norme de nickel en 91 mois. Mais contrairement à ce que le sous-ministre a laissé entendre, les lectures des derniers mois de 2021 n’avaient pas un taux de conformité de 100 %.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]},{"position":3,"text":"

Les relevés du Ministère indiquent que pour les sept premiers mois de 2021 où les données sont disponibles, il n’y en a eu qu’un seul (juillet) où toutes les mesures étaient conformes à la norme de 14 ng/m³.

Pour ceux qui auraient oublié leurs lointaines notions de mathématiques (c’était mon cas) on compte 1 milliard de nanogrammes (ng) dans un gramme.

Le sous-ministre a parlé de dépassements généralement «peu importants», tout en mentionnant deux exceptions en 2020 et 2021.

Les relevés de dépassements transmis par le Ministère au lendemain du point de presse montrent que les dépassements importants n’ont pas été des exceptions.

Sur les 88 dépassements, 28 étaient de 5 fois supérieurs à la norme de 14 ng/m³. Cela veut dire au-delà de la nouvelle norme de 70 ng/m³ qu’envisage le gouvernement. On retrouve aussi dans la liste 15 dépassements supérieurs à 10 fois la norme et 3 au-delà de 20 fois la norme.

Au moment de livrer ce texte, le Ministère de l’Environnement ne m’avait pas encore transmis la liste des sanctions imposées et des entreprises responsables des dépassements à Québec.

L’absence de mesures dans la plupart des régions à risque et le nombre élevé de dépassements à Québec montrent que le Ministère a peiné à faire respecter la norme actuelle sur les émissions de nickel.

Comment croire qu’il pourra faire mieux respecter sa nouvelle norme?

L’objectif avoué du Ministère n’est pas d’améliorer la qualité de l’air au Québec. C’est de faciliter la vie aux entreprises associées au nickel pour les faire mieux paraître aux yeux des investisseurs étrangers.

","type":"paragraph","contents":[],"photos":[]}],"creationDate":"2022-02-02T04:32:48.011Z","externalIds":{},"firstPublicationDate":"2022-02-02T08:00:00.000Z","free":false,"id":"7c15da4dc7ead3df57faff05c8dfa22b","lead":"CHRONIQUE / Il est dans l’air que la Ville de Québec se dote de sa propre norme sur les émissions de nickel et devienne responsable de son application. ","locales":["fr"],"metadata":{},"modificationDate":"2022-02-02T13:57:00.101Z","publications":[{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lenouvelliste","sectionKey":"chroniques/francois-bourquer"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"latribune","sectionKey":"chroniques/francois-bourque"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lequotidien","sectionKey":"chroniques/francois-bourque"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lavoixdelest","sectionKey":"chroniques/francois-bourque"},{"canonical":false,"organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"actualites"},{"canonical":true,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"chroniques/francois-bourque"},{"canonical":false,"editionKey":"site","organizationKey":"lesoleil","sectionKey":"chroniques"}],"slug":"2022/02/02/la-ville-de-quebec-peut-elle-mieux-controler-le-nickel--7c15da4dc7ead3df57faff05c8dfa22b","tags":["Social Issues"],"templateName":"article_columnist","title":"La Ville de Québec peut-elle mieux contrôler le nickel? ","type":"article","url":"global/contents/7c15da4dc7ead3df57faff05c8dfa22b.json","visual":{"caption":{"fr":"Les citoyens de Limoilou s’inquiètent de la concentration de nickel dans l’air."},"contentType":"image","credits":{"fr":"Le Soleil, Pascal Ratthé"},"position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ff31d5d82-07f0-40ba-99b9-cd50270b946d.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"},"adTargetSectionKeys":["chroniques","chroniques/francois-bourque"],"canonicalSiteCompositeKey":"lesoleil/site","color":"#7f8fde","displayedSection":{"color":"#7f8fde","id":"46464","key":"chroniques/francois-bourque","name":"François Bourque","position":16,"sectionId":"46464","slug":"chroniques/francois-bourque","url":"site/sections/chroniques/francois-bourque.json","isRoot":false},"mainVisual":{"caption":"Les citoyens de Limoilou s’inquiètent de la concentration de nickel dans l’air.","contentType":"image","credits":"Le Soleil, Pascal Ratthé","position":0,"type":"photo","url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ff31d5d82-07f0-40ba-99b9-cd50270b946d.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true","contents":[],"photos":[]},"section":{"color":"#7f8fde","id":"158","key":"chroniques","name":"Chroniques","position":2,"sectionId":"158","slug":"chroniques","url":"site/sections/chroniques.json","isRoot":true},"subSection":{"color":"#7f8fde","id":"46464","key":"chroniques/francois-bourque","name":"François Bourque","position":16,"sectionId":"46464","slug":"chroniques/francois-bourque","url":"site/sections/chroniques/francois-bourque.json","isRoot":false},"thumbnailVisual":{"url":"https://images.omerlocdn.com/resize?url=https%3A%2F%2Fgcm.omerlocdn.com%2Fproduction%2Fglobal%2Ffiles%2Fimage%2Ff31d5d82-07f0-40ba-99b9-cd50270b946d.JPG&width=1024&type=jpeg&stripmeta=true"}}