
La foresterie doit changer de paradigme
CHRONIQUE / Pour les peuples autochtones qui vivaient traditionnellement dans les forêts du monde, il n’y avait pas de frontières entre la culture et la nature. Les humains faisaient partie d’un tout et s’inscrivaient dans la dynamique circulaire qui leur conférait une résilience adaptée aux fluctuations naturelles des conditions de l’écosystème. Il serait avisé en cette époque de crise écologique multiforme que l’humanité s’inspire de cette philosophie.