« C’est une très belle reconnaissance, lance d’emblée Martin Gaudreault. Je suis très honoré et je remercie sincèrement l’Académie Italia in Arte nel Mondo – Association Culturelle pour la remise de cet honneur. »
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Avec la pandémie de COVID-19, la Biennale internationale d’Art du Baroque Salentin 2020 s’est déroulée en ligne, du 13 au 19 juillet. Martin Gaudreault était certes déçu de ne pas pouvoir aller chercher son prix en personne, mais avec les restrictions sanitaires imposées, il a préféré rester chez lui, à Roberval. « Je vais recevoir la statuette et le parchemin dans les prochaines semaines », a-t-il commenté.
Le photographe robervalois est un spécialiste pour croquer l’émotion de l’instant présent avec des paysages. « Je me laisse envahir par la beauté des paysages », explique l’homme, pour décrire sa démarche artistique.
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Selon ce dernier, les Italiens et les Français raffolent des paysages du Québec, et plus particulièrement du Saguenay–Lac-Saint-Jean. « L’immensité du territoire les attire », rapporte Martin Gaudreault.
Il se souvient, par exemple, d’une toile du Petit Parc, dans la Réserve faunique des Laurentides, qu’il a vendue à Cannes. « Pour eux, c’est très exotique de voir un territoire où il n’y a aucune maison pendant 200 kilomètres », dit-il.
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Non seulement Martin Gaudreault est-il reconnu à l’international, mais il l’est aussi chez lui, car il a été intronisé à titre de membre de l’Ordre du Bleuet pour les arts et la culture en 2019. Il est aussi le premier photographe à avoir été admis, en 2019, à l’Académie internationale des Beaux-Arts du Québec.
Au cours des dernières années, il a présenté au public de grandes expositions personnelles, notamment Enchevêtrement de lumières, à Roberval, et La ligne du temps, à la Galerie d’art Urbania, à Québec. Les photos de l’homme, qui travaille à plein temps comme directeur général de l’Office d’habitation des 5 Fleurons, ont été appréciées dans une soixantaine de pays jusqu’à ce jour.
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