
Des caméras thermiques permettent d’identifier les zones de refuges thermiques bénéfiques aux saumons.
Les refuges thermiques de la rivière Sainte-Marguerite scrutés à la loupe
En cette période de canicules et de réchauffement général de la planète, des chercheurs de l’Institut national de recherche scientifique (INRS) sont à l’oeuvre encore cette année sur les rives de la rivière Sainte-Marguerite, près de Sacré-Cœur, afin d’étudier en détail les refuges thermiques, des zones où la rivière est plus froide et de ce fait, plus favorable à la présence du saumon et de la truite. Au cours des derniers jours, Le Quotidien a réalisé des entrevues avec Jasmin Raymond, hydrogéologue, et André St-Hilaire, hydrologue, tous deux rattachés à l’INRS dans le cadre du projet Miranor.