C’est l’ensemble de la pharmacothérapie qui devrait revu chez les résidents en CHSLD, selon l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec. (ARCHIVES LA PRESSE/ARCHIVES LA PRESSE)
L’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES) salue les résultats encourageants de la première phase du projet OPUS-AP, visant à réduire l’utilisation d’antipsychotiques en CHSLD, mais demande une plus grande présence de pharmaciens dans les établissements de santé afin de mener à terme le projet.