La région, qui compte 13 GMF, sera la première à dispenser ce type de service qui pourrait servir de modèle pour l’ensemble du Québec. Le projet a pour but d’optimiser la contribution des infirmières œuvrant en GMF, dans le dessein d’offrir une approche personnalisée tout au long de la trajectoire de soins d’une personne atteinte.
« Souvent, les gens associent les soins palliatifs à la mort. Dans plusieurs cas, ils sont en fin de vie lorsqu’ils les reçoivent. Avec ce projet, on veut changer les choses et offrir des soins d’accompagnement tôt dans la trajectoire de soins pour que les patients se sentent moins démunis face à la maladie », a indiqué la directrice des soins infirmiers du CIUSSS régional, Sylvie Massé, par voie de communiqué.
La présidente de la Fondation, Lyne Tremblay, a pour sa part indiqué que la subvention contribuera autant à la santé physique qu’au bien-être mental des personnes accompagnées.
« Avant de recevoir de la chimiothérapie ou de subir une intervention chirurgicale, le patient peut avoir des interrogations. C’est rassurant pour lui de savoir qu’un professionnel en soins est en mesure d’y répondre », a renchéri Sylvie Massé.
La subvention couvre une période de deux ans.