STAS décroche la palme provinciale

Benjamin Marcoux, Karine Giguère, François Mousseau, Pierre Bouchard et Pascal Guertin, de STAS, entourent la ministre de la Famille, Nicole Léger.

Les efforts de STAS en matière de conciliation travail-famille ont dépassé les limites de la région. Après avoir remporté un prix lors du gala de la Jeune chambre de commerce de Chicoutimi, en mars, voilà qu'elle répète l'exploit, mais cette fois à l'échelle provinciale. Hier, l'entreprise a été honorée au Regroupement des jeunes chambres de commerce du Québec lors du gala qui avait lieu à l'Hôtel Château Laurier de Québec.


Joint hier en soirée, le président de STAS, Pierre Bouchard, se réjouissait de cette reconnaissance obtenue devant 27 entreprises finalistes.

«Nous sommes les meilleurs au Québec! C'est une très bonne nouvelle pour nous. Pour STAS, ç'a toujours été notre priorité. Ce qui fait notre valeur, c'est notre personnel. C'est donc important de travailler avec eux», a-t-il exprimé lors d'un entretien téléphonique.

M. Bouchard rappelle que l'entreprise, qui compte 200 employés, tient à mettre des conditions qui permettent au personnel de se développer. C'est peut-être ce qui explique que cinq employées sont actuellement enceintes!

«C'est la première fois que ça nous arrive! Nous devons travailler avec ça, avec les contraintes, et leur donner les meilleures conditions possible.»

La responsable des ressources humaines chez STAS, Karine Giguère, abonde dans le même sens. Selon elle, il s'agit d'un honneur de remporter le prix provincial de toutes les jeunes chambres de commerce.

«Ça fait plus d'une dizaine d'années que la conciliation travail-famille fait partie de notre quotidien. Ç'a toujours été important chez STAS», a-t-elle avoué, elle aussi à Québec.

Rappelons qu'au cours des derniers mois, l'entreprise qui oeuvre dans le secteur de l'aluminium avait obtenu le plus haut niveau de certification en matière de conciliation travaille-famille, devenant par le fait même la première de la région à décrocher cette norme. STAS était aussi devenue la première entreprise du Québec à mériter le niveau 4.