
Martyne Talbot déplore le fait qu'elle n'a pu aider son fils, Maxime Talbot-Maltais (photos courtoisie en médaillon), comme elle l'aurait voulu, ce qui aurait peut-être évité son décès à l'âge de 31 ans.
Le cri du coeur d'une mère
Trois ans après le décès de son fils atteint de schizophrénie, l'Almatoise Martyne Talbot lance un cri du coeur. Dans une lettre adressée à la première ministre Pauline Marois, elle réclame plus d'aide et d'empathie à l'égard de ceux qui souffrent de problèmes mentaux.