Après un vote secret, 88,8% des propriétaires de machinerie forestière ont pris la décision d'entreprendre des moyens de pression afin d'obtenir de meilleures conditions.
Ils soutiennent que les institutions financières ne leur prêtent plus d'argent tant qu'ils ne démontreront pas un contrat viable prouvant leur capacité de remboursement. Ils demandent donc au gouvernement du Québec de leur garantir des taux d'emprunt raisonnables pour les cinq prochaines années.
Le comité de négociations qui a été formé depuis le début de la saison exige à PFR d'augmenter le prix du mètre cube de 25%. Ils réclament aussi des contrats négociés «en bonne et due forme sans pression».
Plus de 120 000 emplois sont directement rattachés à la santé financière des entrepreneurs forestiers à la récolte au Québec.
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