Elle réclame l'interdiction du piquetage à moins de 50 mètres de ses installations et tout regroupement dans les locaux ou corridors visant à nuire à ses activités.
L'université allègue devant le tribunal que le mouvement a procédé à un vote à scrutin secret dont le résultat a été le rejet de la grève générale. Conséquemment, l'université a décidé de poursuivre ses activités.
Elle demande au tribunal d'interdire d'entraver de quelque façon que ce soit ses activités, sinon elle se verra forcée de prolonger la session en cours. Une prolongation causera des difficultés d'organisation de la session d'été et des cours de langue.
L'UQAC allègue que les étudiants subiront un tort irréparable en subissant un retard dans leur cheminement scolaire et qu'ils éprouveront des difficultés à intégrer le milieu du travail d'été.
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