Joanne Marcotte est pour le principe de l'utilisateur-payeur.
«Pourquoi payer pour un système public qui ne livre pas la marchandise. Certains citoyens doivent payer pour deux systèmes, le public et le privé, ça n'a pas de bon sens. C'est la même chose du côté de l'éducation», estime l'auteure, jugeant que la dette de l'État est très inquiétante.
«Nous sommes le cinquième État le plus endetté, après la Grèce. On ne peut plus demander à la classe moyenne, et surtout aux jeunes, d'assumer le poids des promesses électorales qui ne peuvent être tenues», souligne Joanne Marcotte.
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