Les chiffres n'étaient pas disponibles, mais Louise Fortin, infirmière scolaire au Centre de santé et des services sociaux (CSSS) de Jonquière, souligne que la grande majorité des élèves avait en main l'autorisation signée par un parent pour recevoir une dose. Il y avait 623 jeunes éligibles dans les deux écoles confondues. Elle confie que grâce à une préparation adéquate et une bonne collaboration des dirigeants des écoles touchées, le défi a pu être relevé. À preuve, la vaccination a pris fin une demi-heure plus tôt que ce qui était prévu à Immaculée-Conception.
«L'important, c'est de s'assurer à l'avance de ne manquer de rien et de suivre les étapes. Nous avions du personnel pour vérifier les formulaires, de même que l'âge et l'état de santé des enfants. Nous avions également huit postes de vaccination et un de premiers soins qui, comme aucun enfant n'a eu de malaises, n'a pas été utilisé», mentionne Mme Fortin.
La directrice de l'école Immaculée-Conception, Esther Simard, était également satisfaite du déroulement des opérations. À part quelques pleurs et moues inquiètes, les élèves ont reçu la piqûre comme des grands. «Ils s'attendent à ce que ça fasse mal alors ils sont étonnés de constater que ce n'est pas aussi terrible que ce qu'ils croyaient. Même les petits de la maternelle ont été courageux», souligne la directrice.
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